Quanzhou, petite bourgade (400 000 habitants seulement) du Fujian porte en elle de forts jolis restes.
D’abord, l’origine du mot satin. En effet, le nom médiéval de Quanzhou était Citong et Zaytûn en arabe, car cette ville côtière fut pendant le port maritime le plus important de Chine.
Perses, Afghans, et autres marchands en ont fait le point de départ de la route de la soie maritime.
Approchez, et admirez ces bâtiments de style arabe, la tranquillité de la plus ancienne mosquée de Chine…
Xiamen (厦门, autrefois nommée Amoy) la porte de l’été, porte bien sons nom.
Au début du siècle, troupes anglaises et françaises pénétraient dans Pékin profitant de l’instabilité politique d’alors pour tenter de contrôler la ville.
Langde, au coeur du Guizhou, est entourée de montagnes verdoyantes, où les rizières en terrasse se disputent la place avec les forêts. Où les maisons en bois sont accrochées les unes à côté des autres dans une atmosphère brumeuse dont il se dégage un air de romantisme germanique.
De Kaili, vous pouvez sillonner les paysages du Guizhou facilement. Les routes sont de plus en plus développées et très bien entretenues.
Dans le tour de Chine, il est une région dont j’ai peu parlée, car je l’avais visitée avant que je n’ouvre ce blog…