Non, il ne s’agit pas de la traduction chinoise de Turpan dans le Xinjiang mais du prénom d’une jeune fille, que le héros du film, Asa, cherche à épouser à tout prix.
Premier film du cinéaste russe Sergey Dvortsevoy, ce film réalisé à la sauce docu, met en scène les espoirs de jeunes Kazhaks nomades dans les steppes arides de cet immense pays.
Quittant la chaude Phnon Penh dimanche matin avec 35°C dès 7 heures du matin, l’arrivée à Pékin fut dure : -10°C (confort : -20°C).
Trois heures de retard pour notre avion, qui a mis ensuite, une fois posé, 30 minutes à trouver une place disponible pour faire débarquer ses passagers.
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Shèng dàn jié (圣诞节) approche, les Laowais partent en vacances..
Pour moi cette année ce sera (Angkor !) le Cambodge.
Pays fascinant, qui a terriblement souffert de la guerre, et d’une dictature qui a décimé la moitié du pays.
Un film chinois, qui a fait un carton auprès des Chinoises lors de sa sortie, avec la présence de deux très grandes actrices, Fan Bing Bing et Zhang Zi Yi (également productrice du film).
Film en chinois, sous-titré en chinois, mais facile à comprendre, assez amusant, mais surtout, en le regardant la semaine dernière, je me suis rendu compte que c’est le film pour lequel j’avais été contacté l’an passé pour en être le photographe…
Connu depuis des millénaires en Chine, le thé du Yunnan est l’un des plus prestigieux au monde, et très consommé en Chine (le thé Pu Er vient en partie de cette province du Sud Ouest de la Chine).
Il est aujourd’hui l’objet d’un intérêt grandissant en France, notamment pour la marque Twinnings, qui propose un nouveau thé.. du Yunnan.
Voir la publicité vidéo de ce nouveau thé.
Les tragiques accidents miniers en Chine, comme celui qui a coûté la vie à plus de cent personnes samedi, semblent inévitables dans un pays qui va encore longtemps dépendre du charbon pour alimenter sa croissance économique.
Cette dépendance va se maintenir même si la Chine se tourne de plus en plus vers les énergies propres et renouvelables et insiste sur cet engagement à la veille du sommet de Copenhague sur le changement climatique.
Pour cette raison, je vous propose une version chinoises du roman d’Emile Zola dans la Chine d’aujourd’hui, qui donnerait ça :
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Au début du siècle, troupes anglaises et françaises pénétraient dans Pékin profitant de l’instabilité politique d’alors pour tenter de contrôler la ville.
De cette présence étrangère, il est resté des traces, notamment architecturales.
Promenade dans le froid Pékinois, à la découverte d’un de ces bâtiments, peu connus, qui furent transformés ensuite en Université (l’Université du Peuple) après avoir abrité le gouvernement de Sun Yat Sen.
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Une fois n’est pas coutume, un article traitant de Shanghai (où je vais devoir bientôt m’installer, malgré moi, quittant ma Chère Pékin..)
Il s’agit d’un reportage de 7 à huit, diffusé il y a deux mois, sur la métropole de Shanghai avant l’expo 2010.
Si le reportage montre des portraits intéressant, il comporte pas mal d’imprécisions sur la Chine et sur Shanghai, mais surtout, ressasse toujours les mêmes thèmes et idées des étrangers sur la Chine :
« En Chine, tout est possible (comprenez facile) »
« Destruction de la vieille ville au profit du béton » (alors qu’il s’agit souvent de bidonvilles sans sanitaires)
Bref, il y a du bon et du moins bon dans ce reportage, mais il vaut la peine d’être vu et de se faire son idée…