Le marketing du vin en Chine à l’approche du Nouvel An Chinois

Le nouvel an chinois (qui tombe cette année le même jour que la Saint Valentin, le 14 février) est la période de l’année où les Chinois dépensent le plus d’argent. En effet, chacun retourne dans sa famille, qu’il n’a pas vue la plupart du temps depuis un an ou plus, et il est de tradition de faire des cadeaux à chacun de ses proches.

Les enseignes de la grande distribution (Auchan, Carrefour, Wal Mart, RT Mart, Tesco, Lotus…) rivalisent de promotions pour drainer le maximum de clients dans leurs allées.

Par exemple chez Carrefour, vous recevez 15 RMB de réduction pour toute tranche à 100 RMB… et la foule afflue pour remplir les caddies de paquets cadeaux identiques.

On voit des paniers débordants de bouteilles d’huile d’olive (très à la mode en ce moment), packagées comme des produits de luxe (au même titre que le lait.

Mais c’est également dans le vin que les cadeaux sont les plus impressionnants.

Tu seras unique mon enfant, et ce sera un poids

La politique de l’enfant unique en Chine, même si elle tend à comprendre de plus en plus de souplesse dans certaines villes (comme Shanghai) ou dans certaines situations, influe la société chinoise d’une manière bien plus importante que purement démographique.
Sociologiquement et psychologiquement, c’est tout un pan du confucianisme et de la culture millénaire chinoise qui est ébranlée, ayant des répercussions dans la vie de chaque jeune Chinois. Essai

Tulpan un film de Sergey Dvortsevoy

Non, il ne s’agit pas de la traduction chinoise de Turpan dans le Xinjiang mais du prénom d’une jeune fille, que le héros du film, Asa, cherche à épouser à tout prix.

Premier film du cinéaste russe Sergey Dvortsevoy, ce film réalisé à la sauce docu, met en scène les espoirs de jeunes Kazhaks nomades dans les steppes arides de cet immense pays.

Vers le lac Karakul

Entre le Pakistan, le Kazakhstan, l’Ouzbékistan, le Kirghizstan, la Mongolie et la Russie, se trouve le Xinjiang, avec ses minorités ethniques et ses paysages à couper le souffle.

Voyage sur la route du Karakorum, je vous emmène aujourd’hui dans des lieux magiques…

Le marché aux animaux de Kashgar, première partie

Ils viennent de toute l’Asie centrale, avec leurs chameaux, leurs chèvres, leurs chevaux, leurs ânes, les enfants dans les bras, sur leur charrette.

Ils ont parcouru des routes poussiéreuses toute la nuit pour arriver aux premières lueurs dans la ville de Kashgar, sur le marché aux animaux, le plus grand d’Asie, et réserver le meilleur emplacement pour la journée.

Tous les dimanche se tient en effet le marché aux animaux de Kashgar, plus de 100 000 personnes qui vendent et achètent moutons, vaches, chevaux, chameaux.

Un foutoir incroyable, une atmosphère magique.

Le mieux est de s’y rendre dans l’après midi, quand les acheteurs ont déjà fait le tour des bêtes et les chargent dans leurs camions.

Reportage photos